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Truffes Ventoux : C’est quoi un fichier de prospection ?

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Perſuadés d’une part que la racine eſt l’organe principal deſtiné à pomper la nourriture, & à la transmettre au reſte de la plante ; voyant de l’autre la quantité énorme de racines charnues, farineuſes, accumulées aux pieds de la pomme de terre, on en a conclu que cette croiſſance vigoureuſe ne pouvoir s’opérer qu’aux dépens du terrain qu’elle devoit néceſſairement appauvrir. Je crois qu’il faut faire remonter l’origine du nom à une distinction faite dans la carrière entre le pierre en blocs mesurée au cube, et la pierre mince, mesurée au carré ; celle-ci étant considérée comme la cadette de l’autre ; de même au billard on appelle cadette une queue plus courte. Pour le plus grand bonheur des commerçants. La première et la plus classique c’est de bouler à la main. Il faut bien sûr un chocolat de grande qualité pour qu’elles soient réussies et après Hummm qu’est ce que c’est bon ! » Qu’il y ait, au xve siècle, sept sortes de potages dans le gala donné au Roi par le comte de Foix, ou que l’on serve, chez un archevèque du xive siècle, trois « paires de soupes de diverses couleurs, » sucrées et sursemées de graines de Grenade, il en était jadis comme dans nos dîners d’aujourd’hui, où l’on ne prend qu’un potage, bien que souvent l’on en passe deux à choisir

Des truffes moins recherchées pour leur qualité organoleptiques et plus économiques. » Rien n’est plus simple, plus aisé, plus commode et plus naturel. Dans ce cas, la truffe n’est pas préparée. « On lit, dans un des articles de fond les plus récents, dû à la plume de M. Gossin (Encyclopédie de l’Agriculture, 1866), que la Pomme de terre, après s’être propagée rapidement en France, vers 1592, dans la Franche-Comté, les Vosges et la Bourgogne, subit, comme tant d’autres choses utiles, l’épreuve de la persécution et qu’au milieu du XVIIIe siècle, elle était encore fort peu estimée en France, sa culture en grand n’existant nulle part, si ce n’est peut-être sur quelques points des Vosges. A ne pas confondre avec la truffe de Bourgogne, Tuber incinatum, plus claire à l’intérieur et surtout moins parfumée, ou avec la Fraîche Tuber Brumale brumale, souvent utilisée pour les préparations truffées. On l’apprécie plus pour son parfum unique. Le trombone seul était livré à lui-même ; mais, ne donnant prudemment que les sons qui lui étaient très-familiers, comme si bémol, ré, fa, et évitant avec soin tous les autres, il brillait presque partout par son silence. Ils ont été publiés à part, avec traduction latine, à Berlin par E. F. Neue, 1823, et trad

Il se distingue par la finesse de sa couleur, à la fois vive, intense et brillante, et par le soin qu’il donne aux accessoires. «Oui, il existe une convivialité propre aux repas festifs français, note Alain Ducasse, concepteur de vingt-six restaurants dans le monde. VANDERBOURG (Ch. BOUDENS de), littérateur français, né en 1765 à Saintes, m. en 1827, avait servi avant la Révolution dans la marine militaire. VAN DYCK (Philippe), dit le Petit Van Dyck, né à Amsterdam en 1680, m. à La Haye en 1752, excella dans le portrait et dans les tableaux de genre ; on lui reproche de pousser trop loin la minutie de l’exécution : sa couleur léchée prend l’aspect de l’ivoire. Il peignit les monuments, les rues, les places, les canaux des villes hollandaises avec un soin minutieux et avec un bonheur qu’aucun artiste n’a égalé : la couleur de ses tableaux est harmonieuse, la lumière distribuée avec un art infini. Il émigra en 1793, alla en Allemagne où il étudia la littérature de ce pays, puis passa dans les îles danoises de l’Amérique comme chargé des intérêts de quelques riches Danois, revint on France en 1802, se fit d’abord connaître par des traductions de l’allemand (le Woldemar de H. Jacobi, le Laocoon de Lessing), et publia en 1803 les Poésies de Clotilde de Surville, sur l’authenticité desquelles il s’éleva d’abord de vives discussions, mais sa bonne foi est aujourd’hui hors de doute (V

VAN DER WERF (Adrien), artiste hollandais, élève de Van der Neer, né en 1659, près de Rotterdam, m. en 1722 ; fut à la fois peintre, sculpteur et architecte. Le Louvre possède de cet artiste deux portraits et une Délibération de chefs d’arbalétriers. Il a peint, le plus souvent en petite dimension, des scènes historiques, des scènes de la vie privée et des portraits : son style léché nuit à la vigueur : ses chairs, semblables à l’ivoire, manquent de vie. Il peignait parfaitement le paysage et le portrait ; mais son talent principal consiste à reproduire des scènes d’intérieur : il imite aussi habilement que Terburg le damas, le satin, le velours, les tapis, les fourrures. Son fils, Eglon V., né en 1643 à Amsterdam, m. en 1703, se fixa à Rotterdam, après quelques années passées en France. VAN DER HELST (Barthélemi), peintre hollandais, né en 1613 à Harlem, m. en 1670 à Amsterdam, excella dans le portrait et fut en ce genre le rival de Van Dyck. Lindenius, né en 1609 à Enckhuysen, près de Hoorn, m. à Leyde en 1664, exerça la médecine à Amsterdam, puis enseigna cette science à Franeker et à Leyde. Il suivit Louis XIV dans toutes ses campagnes, pour dessiner sur les lieux les marches, les campements, les attaques et les vues des différentes villes assiégées, et put ainsi atteindre à cette vérité frappante d’imitation qui lui assure un rang éminent : il se distingue en effet par la fidélité avec laquelle il a reproduit les sites, les costumes, souvent même les portraits des personnages célèbres ; à ce mérite il joint une grande liberté de touche, la justesse du dessin, un coloris large et harmonieux